Les six courageux supporters du
FC Epalinges qui avaient fait le déplacement à Bursins ont passé par tous les
états d’âme en cette froide soirée d’automne.
Alors que le match était parfaitement sous le contrôle des hommes de Jean-Luc Kringel (Jean-Luc Lahaye pour les intimes !) et que l’ouverture du score en faveur des visiteurs était amplement méritée, le moteur s’est brusquement mis à tousser et les vieux démons ont soudainement réapparu.
Il n’en fallait pas davantage pour permettre aux joueurs de Gabet Chapuisat de revenir immédiatement dans le match en égalisant quelques minutes plus tard.
Pourtant sur l’ensemble de la partie, on ne peut pas reprocher grand-chose aux joueurs du FC Epalinges. Le jeu est plaisant, l’engagement est exemplaire sur toutes les lignes et l’esprit d’équipe est bien présent.
C’est du côté de l’attaque qu’il manque ce grain de folie, cette créativité qui permet de mettre le feu dans la défense adverse. On travaille durement en défense pour éviter la capitulation, on bosse tout autant en milieu de terrain et puis soudain, il manque ce petit quelque chose qui fait que l’action ne mène à rien ou tout du moins pas à ce que l’on est en droit d’espérer…
En fin de partie, les joueurs de la Côte, pourtant réduits à dix à la suite d’une expulsion (second carton jaune) ont bien failli empocher les trois points du match. Sans les interventions miraculeuses du gardien Michael Diserens dans les cinq dernières minutes, les palinzards seraient rentrés bredouilles !
Au final, il s’agit bien d’un point de gagné, mais la frustration est bien présente car la victoire était clairement à la portée des joueurs du « chanteur » qui a pourtant donné de la voix hier soir, presque autant que celui d’en face (vous imaginez le tableau ?)
Alors que le match était parfaitement sous le contrôle des hommes de Jean-Luc Kringel (Jean-Luc Lahaye pour les intimes !) et que l’ouverture du score en faveur des visiteurs était amplement méritée, le moteur s’est brusquement mis à tousser et les vieux démons ont soudainement réapparu.
Il n’en fallait pas davantage pour permettre aux joueurs de Gabet Chapuisat de revenir immédiatement dans le match en égalisant quelques minutes plus tard.
Pourtant sur l’ensemble de la partie, on ne peut pas reprocher grand-chose aux joueurs du FC Epalinges. Le jeu est plaisant, l’engagement est exemplaire sur toutes les lignes et l’esprit d’équipe est bien présent.
C’est du côté de l’attaque qu’il manque ce grain de folie, cette créativité qui permet de mettre le feu dans la défense adverse. On travaille durement en défense pour éviter la capitulation, on bosse tout autant en milieu de terrain et puis soudain, il manque ce petit quelque chose qui fait que l’action ne mène à rien ou tout du moins pas à ce que l’on est en droit d’espérer…
En fin de partie, les joueurs de la Côte, pourtant réduits à dix à la suite d’une expulsion (second carton jaune) ont bien failli empocher les trois points du match. Sans les interventions miraculeuses du gardien Michael Diserens dans les cinq dernières minutes, les palinzards seraient rentrés bredouilles !
Au final, il s’agit bien d’un point de gagné, mais la frustration est bien présente car la victoire était clairement à la portée des joueurs du « chanteur » qui a pourtant donné de la voix hier soir, presque autant que celui d’en face (vous imaginez le tableau ?)
Avec nos excuses pour la médiocre qualité des photos en prise nocturne
L'arrivée du "chanteur"
Le sauveur des 5 dernières minutes
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire